Moje noći su puste i beznadežne,
Emocije postaju suvišne i lažne.
Surovi sukob sa egzistencijom,
Eskalira čežnju za izolacijom.
Car svoje samoće, neizbežno iščeznuće.
Moja nada je uvenula u toj davnoj noći,
Evaporisala i ostavila me u hladnoći.
Sećanja na taj davni sukob su izbledela,
Epitaf će ih podsetiti na njihova zlodela.
Crv postojanja, kralj opraštanja.
Možda će ova mesečeva svetlost
Eflorescirati ovu preostalu žalost,
Skupiti sva zaboravljena sećanja,
Ekipirati um i odreći od iskušenja.
Cesta života, je prelaka za idiota.
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert
Winds of Sorrow est l'une des multiples facettes de l'artiste néo-zélandais Mort et aussi l'une des plus brèves puisque seul Through Twilight... naîtra sous ce patronyme. Mort part d'un bon concept, à savoir créer un doom metal/dungeon avec une emphase sur ce dernier, mais voit trop grand en visant le format de l'album alors qu'une démo était suffisante. Les atmosphères gothiques et parfois folkloriques sont envoûtantes mais couvrent trop une voix qu'on finit par oublier. Un album sympathique. Jordan Vauvert